DN = Digha Nikaya, l es longs discours
MN = Majjhima-nikaya, les discours de longueur moyenne
SN = Samyutta-nikaya, les discours groupés ou connectés
AN = Anguttara-nikaya, les discours numériques
KN = Khuddaka Nikaya, les petits discours

Voir également Menu des Majjhimas Nikaya


Abhaya Sutta
(MN 58) - Pour le prince Abhaya (Sur la parole correcte) {M I. 392}. Le Bouddha explique les critères pour déterminer si quelque chose vaut ou pas la peine de le dire. Ce discours est un très bel exemple de l'adresse du Bouddha en tant qu'enseignant: non seulement il parle à propos de la parole correcte, mais il la démontre également dans l'action.

Acchariya-abbhuta Sutta (MN 123) - Vingt merveilleux attributs du Bouddha exposés par Ananda.

Acela Sutta (La coproduction conditionnée) SN 2, 12-17 et 16-19

Acintita Sutta AN 4.77 Les Inconjecturables

Adittapariyaya Sutta (L'incendie - Tout est en flammes SN 4, 19-20 ou (Sermon du feu ) SN 35 - 28 : Plusieurs mois après son Éveil, le Bouddha ce sermon devant un public de 1000 ascètes adorateurs du feu. Dans son style brillant si caractéristique de son enseignement, le Bouddha use d'une métaphore qui pénètre rapidement au coeur de son public - ici, la métaphore du feu. En entendant ce sermon, tout le public atteint le plein Éveil (arahatta).

Aggi Sutta (Le principe de non-violence) SN 46.53

Aggi-Vacchagotta Sutta (MN 72) - Pour Vacchagotta à propos du feu {M I. 483}. Le Bouddha explique à un errant les raisons pour lesquelles il ne tient aucune vue spéculative. Au moyen de la parabole du feu éteint, il illustre le destin des êtres libérés.

Akankheyya Sutta (MN 6) - Les souhaits. Ce sutta décrit comment un bhiksu doit développer sila, samadhi* et prajna, au lieu de courir après le profit et la gloire; comment il doit modérer ses facultés, en voyant du danger dans la moindre faute.

Alagaddupama Sutta (MN 22) - A Arittha. Le bhiksu Arittha a mal compris l'enseignement du Bouddha et maintient que ce dernier a montré comment profiter des plaisirs des sens sans mettre en danger son progrès sur la Voie. Lorsque le Bouddha lui reproche ses mauvaises vues, il demeure impénitent. Le Bouddha parle alors aux bhiksus de la mauvaise voie d'apprendre le Dharma, donnant la parabole du chasseur de serpents et celui du radeau.

Ambalatthikarahulovada Sutta (L'utilité de l'attention - Danger du mensonge) MN 61 {M I. 414}. Le Bouddha admoneste son fils, le novice Rahula, sur les dangers du mensonge et souligne l'importance d'une réflexion constante sur nos motivations. (Ceci est l'un des suttas choisis par le roi Asoka pour que tous les bouddhistes pratiquants les étudient et y réfléchissent souvent.

Amida (Amitabha) Traduit par Jean Eracle

Ananda Sutta (sur l'attention à la respiration) SN 54, 13

Anangana Sutta (MN 5) - L'absence d'erreur. Dans ce discours, donné à la requête du Vén. Maha Maudgalyayana, le Vén. Shariputra explique quatre types d'individus. a) une personne impure qui sait qu'elle l'est, b) une personne impure qui ne sait pas qu'elle l'est, c) une personne pure qui connaît sa propre pureté et d) une personne pure qui ignore sa propre pureté.

Ananta-nirdesa = Sutra Sutra aux Sens Infinis

Anapassati Sutta (L'attention à la respiration) MN 118 {M III. 78}. Un des textes les plus importants pour les méditants débutants comme pour les vétérans, ce sutta est la "carte routière" du Bouddha pour tout l'ensemble de la pratique de méditation, au moyen du véhicule de la méditation de respiration. La simple pratique de l'attention à la respiration mène graduellement le praticant à travers les 16 stades successifs du développement, culminant dans le plein Éveil.

Anattalakkhana Sutta (Où est le soi ?) SN 22 59

Anenja-sappaya Sutta (MN 106) - Favorable à l'imperturbabilité {M II. 261}. Instruction de méditation avancée: comment développer le quatrième dhyana et les réalisations sans forme pour les utiliser comme base de la réalisation du Nirvana.

Angulimala Sutta (MN 86) A propos d'Angulimala - L'homme mauvais, arrêt de la violence){M II. 97}. Dompté par le Bouddha, Angulimala a cessé de faire du mal à quiconque et, ayant pris refuge auprès du Bouddha, a développé un coeur de compassion, et est devenu un Arhat.

Apannaka Sutta (MN 60) (Vues fausses) - Les habitants du village de Sala n'avaient encore accepté aucun des enseignements des chefs des diverses écoles qui visitaient leur village. Le Bouddha leur montre la bonne voie qui ne les égarerait pas. Les vues fausses des écolâtres sont mises en contraste avec le vues correctes proposées par le Bouddha; les désavantages des vues fausses, et les avantages des vues correctes sont expliquées.

Ariya Pariyesana Sutta (MN 26) - La noble recherche. Le Bouddha raconte sa vie du temps où il est né au monde humain en tant que fils du roi Suddhodana jusqu'au moment du grand discours sur la mise en branle de la Roue du Dharma, donnant des détails de son renoncement, ses mauvaises pratiques initiales d'ascétisme et sa découverte finale du Noble Octuple Sentier. En particulier, il met l'accent sur deux types différents de quête, la Noble et l'Ignoble. Il explique qu'il est extrêmement malavisé de courir après les plaisirs des sens qui nous rendent sujets à la vieillesse, la maladie et la mort. La quête la plus noble est de rechercher ce qui nous libère de la vieillesse, la maladie et la mort.

Atthakanagara Sutta (MN 52) - L'homme d'Atthakanagara (se libérer des infections mentales). Le Dasama veut savoir s'il existe un simple Dharma qui puisse être cause de la libération et de la réalisation du Nirvana. Le vénérable Ananda l'informe de ce qu'il y a un groupe de Dharmas, onze en tout, c'est-à-dire, les quatre dhyanas, les quatre pratiques de Brahmavihara, et l'Akasanancayatana, le Vinnanancayatana, ainsi que l'Akincannayatana. Contempler la nature impermanente de chacun de ces Dharmas amène la personne au Nirvana.

Balapandita Sutta (MN 129) - (Tortue aveugle) Le Bouddha parle des sots et du comportement caractéristique des sots; de comment les pensées, paroles et actions mauvaises des sots leur font du tort à eux et aux autres; et de comment ces mauvaises actions amènent ces sots à des états de misère et de malheur. L'extrême infortune et l'intense souffrance de ces états défie la description. Une fois qu'un sot, de par ses mauvaises actions, s'est mis dans une des régions inférieures, il est peu vraisemblable qu'il puisse remonter vers les domaines plus élevés. Ses chances sont aussi faibles que celles qu'aurait une tortue aveugle de passer la tête à travers un trou d'un joug qui aurait été jeté dans un océan secoué par la tempête.

Bharya Sutta (Conseils à une femme exessive) AN 9.1

Bhaya-bherava Sutta (Crainte et terreur) MN 4. Que faudrait-il pour vivre dans la solitude du désert, complètement libre de peur?

Bojjhanga Sutta - Discours sur les 7 facteurs d’éveil

Brahmajala Sutta DN 1: Deux ascètes-vagabonds - Sila - Dix-huit opinions erronées concernant le passé

Chabbisodhana Sutta (MN 112) (Arhat) - Le Bouddha dit que si un bhiksu prétend être arrivé au niveau d'arhat, on ne doit ni admettre ni rejeter sa prétention d'emblée. Au contraire, il faut l'examiner avec soin, selon les principes-guides contenus dans ce sermon.

Cula-Dhammasamadana Sutta (MN 45) - Le petit discours sur le fait d'entreprendre les pratiques {M I. 305}. Est-ce que quelque chose est bien parce qu'on pense que c'est bien?

Cula-dukkhakkhandha Sutta (MN 14) - Le petit discours sur la masse de la souffrance. Ce discours, donné par le Bouddha à Kapilavatthu au prince des Shakya Mahanama, explique à la requête de ce dernier comment l'avidité, la mauvaise volonté et l'ignorance ont causé des souillures morales et de la souffrance.

Cula-hatthipadopama Sutta (MN 27) Traces de l'éléphant - Le Brahmane Janussoni demande à l'ascète errant Pilotika, qui est tout juste revenu de chez le Bouddha, s'il a vu toutes les vertus et les réalisations du Bouddha. L'ascète errant lui répond que seul un bouddha peut égaler un bouddha en réalisations et donc connaître toutes les vertus de l'autre. Pour ce qui est de lui, il ne peut qu'exercer son imagination à cet égard, de même qu'un chasseur jugerait des dimensions d'un éléphant à la dimension de ses traces. Plus tard, lorsque le brahmane Janussoni va voir le Bouddha et lui rapporte cette conversation, le Bouddha lui dit que même la dimension des traces de l'éléphant pourrait être trompeuse. Ce n'est que lorsque l'on suit les traces, et qu'on finit par voir l'animal lui-même, qu'on peut correctement juger de ses dimensions. Ainsi les vertus du Bouddha et de son enseignement ne peuvent être pleinement appréciés que si l'on suit son enseignement et qu'on pratique ce qui a été enseigné par lui, jusqu'au but final de l'état d'arhat.

Cula-kammavibhanga Sutta (MN 135) - La petite exposition du karma {M III. 202} Le Bouddha explique comment le karma entre en compte dans les fortunes ou infortunes des gens. Actions, paroles et pensées ont d'interminables conséquences de tristesse et de joie en cette vie et après. Les hommes ne dépendent que de leurs propres actions et de rien d'autre pour leur condition et leur statut dans la vie.

Cula-kammavibbhanga Sutta"La petite analyse de l'action) KN 2

Cula-Malunkya Sutta MN 1, 426-443

Cula-Malunkyovada Sutta (Les questions inutiles - flèche empoisonnée) MN 63 - Les instructions courtes pour Malunkya {M I. 426}. Malunkyaputta menace de défroquer à moins que le Bouddha ne réponde à toutes ses questions spéculatives et métaphysiques. Au moyen de la fameuse parabole de l'homme frappé par une flèche empoisonnée, le Bouddha lui rappelle que certaines questions ne valent tout simplement pas la peine qu'on se les pose.

Cula-sihanada Sutta(MN 11) - Le court discours sur le rugissement du lion {M I. 63}. Le Bouddha déclare que ce n'est qu'en pratiquant en accord avec le Dharma qu'on peut réaliser l'Éveil. Son enseignement se distingue de ceux des autres religions et philosophies grâce à son rejet spécifique de toutes les doctrines du soi.

Cula-sunnata Sutta (MN 121) - Le petit discours sur la vacuité. {M III. 103} Le Bouddha instruit le Vén. Ananda de la pratique qui conduit à "l'entrée dans la vacuité," porte ouverte sur la libération.

Cula-vedalla Sutta (MN 44) - Le petit ensemble de questions et réponses {M I. 299}.Dharmadinna la nonne pose une série de question sur le Dharma que lui avait posé son ancien mari: questions sur l'auto-identification, la cessation, la pénétration dans la véritable nature des sentiments et l'obtention du Nirvana.

Dantabhumi Sutta(MN 125) - Le discours sur "l'état dompté" {M III.128}. Le Bouddha explique au novice Aciravata comment un jeune prince comme le Prince Jayasena, fils du roi Bimbisara ne pouvait espérer connaître, voir et réaliser des Dharmas tels que la concentration et les dhyanas, vivant comme lui dans le luxe, entouré des plaisirs des sens et consumé et accablé par les flammes des désirs. Grâce à la parabole du domptage d'un éléphant, le Bouddha explique comment il dompte ses disciples.

Devaduta Sutta (MN 130) - Les mauvais résultats des mauvaises actions, avec des détails de la souffrance dans les états de misère et de malheur.

Dhammadayada Sutta (Héritiers de la doctrine) MN 3. Ce sutta contient deux discours séparés, le premier donné par le Bouddha et le second par Shariputra. Le Bouddha presse les bhiksus de ne recevoir que le Bodhipakkhiya Dharma en tant qu'héritage reçu de Lui, et non pas les choses matérielles comme les quatres nécessaires. Shariputra conseille aux bhiksus de mener une vie solitaire pour atteindre le dhyana et de s'efforcer d'atteindre le nirvana en abandonnant l'avidité, la mauvaise volonté et l'illusion.

Dhatu-vibhanga Sutta (MN 140) - "Quiconque voit le Dharma me voit."{M III. 238}. Une histoire poignante dans laquelle un vagabond, à la recherche du Bouddha, le rencontre effectivement sans s'en rendre compte. Il ne reconnaît son erreur qu'après que le Bouddha lui ait enseigné un profond discours sur les quatre déterminations et les six propriétés de l'expérience.

Dvedhavitakka Sutta (MN 19) - Deux sortes de pensée {M I. 114}. Le Bouddha rappelle les événements qui ont conduit à son Éveil, et décrit sa découverte que les pensées connectées avec la sensualité, la mauvaise volonté, et la nocivité ne conduisent pas à l'Éveil, alors que celles qui sont connectées avec leurs opposés (renonciation, non mauvaise volonté, et innocuité) le font.

Gopaka-Maudgalyayana Sutta (MN 107) - Maudgalyayana-Le Garde {M III. 7}. Ananda explique comment le Sangha maintient son unité et sa discipline interne après la disparition du Bouddha.

Indriya-bhavana Sutta (MN 152) - Le développement des facultés {M III. 298}. Que peut-on qualifier de pleine maîtrise des sens? La différence entre la maîtrise d'un arhat et celle d'un apprenti. Les sentiments tels que la préférence, l'aversion ou l'indifférence qui surgissent des phénomènes conditionnés peuvent être rapidement éliminés grâce à la pratique de la méditation.

Jivaka Sutta (MN 55) - Jivaka, le grand médecin, s'enquiert pour savoir s'il est exact que le Bouddha mange de la viande d'animaux tués spécialement pour lui. Le Bouddha lui répond qu'il a fait une règle pour ses bhiksus de ne partager aucune viande dont ils ont vu ou ont entendu ou ont eu quelque raison de soupçonner qu'elle a été spécialement préparée pour eux. Qui plus est, un bhiksu ne doit pas montrer d'empressement pour la nourriture ni se montrer avide en mangeant; il doit au contraire manger en pensant qu'il n'a accepté le repas que pour sustenter son corps, afin de poursuivre la voie de la libération.

Kakacupama Sutta (MN 21) - La comparaison de la scie {M I. 122}.(extrait) Le Bouddha raconte l'histoire d'une sage esclave qui met délibérément à l'épreuve la patience de sa patronne. Le Bouddha invoque plusieurs mémorables comparaisons pour illustrer comment nous devons développer la patience.

Kalama Sutta(L'accès au libre examen) AN 3.65 ou AN 1, 187-191

Kevatta Sutta (Miracle des pouvoirs psychiques) DN 11

Kukkuravatika Sutta (MN 57) L'ascète qui fait le chien {M I. 387}. Agissez comme un chien et c'est ce que vous deviendrez. Choisissez vos actions avec soin!

Lathukikopama Sutta (MN 66) - Parabole de la caille {M I. 447} Les chaînes sont fortes, non pas à cause de leur propre limite d'élasticité, mais à cause de la ténacité de notre manque de volonté de relâcher notre prise sur elles.

Lonaphala Sutta (Le cristal de sel) AN 3.99

Madhupindika Sutta (MN 18) - La boule de miel {M I. 108}. Un homme qui cherche la bagarre demande au Bouddha d'expliquer sa doctrine. La réponse du Bouddha mystifie non seulement le type, mais aussi bon nombre de bhiksus. Le Vén. Maha Kaccana finit par fournir une explication, et ce faisant, il explique ce qu'il faut pour mettre un terme aux sources psychologiques d'un conflit.

Magandiya Sutta (MN 75) - Pour Magandiya {M I. 501}. Le Bouddha exhorte Magandiya, l'ascète errant, à pratiquer le contrôle des sens et des pensées sensuelles. Il raconte à l'ascète l'histoire de son renoncement, comment il a quitté son palais luxueux et comment, en découvrant la Vérité, il a trouvé le bonheur dans l'état d'arhat, bien supérieur à tous les plaisirs des sens.

Maha-cattarisaka Sutta (Les grands Quarante) (MN 117) - {M III. 71}. Sur la nature de la noble concentration correcte, et son interdépendance avec tous les facteurs du Noble Octuple Sentier.

Maha-dukkhakkhandha Sutta (MN 13) - Le très grand discours sur la masse de la souffrance {M I. 91}. Le Bouddha décrit les inconvénients de la poursuite des plaisirs sensuels. Ces poursuites résultent invariablement en douleur et malheur.

Maha-gopalaka Sutta (MN 33) - Le grand discours sur le vacher. Les conditions grâces auxquelles l'Enseignement croîtra et prospérera et les conditions dans lesquelles il déclinera et se corrompra. On donne l'exemple d'un vacher. Lorsqu'un vacher est équipé de onze talents pour gérer et entretenir son troupeau, il y a progrès et croissance dans son travail. Il en va de même lorsque le bhiksu est habile et et accompli en onze facteurs tels que la connaissance de la vérité sur les khandhas, la pratique de sila, de samadhi* et de prajna etc.

Maha-hatthipadopama Sutta (MN 28) - La parabole de la grande trace de pas d'éléphant {M I. 184}. Explication des quatre nobles vérités, mettant l'accent sur l'aggrégat de la forme physique et qui montre (1) comment tous les aggrégats sont en relation mutuelle et (2) comment toutes les quatre nobles vérités, de même que le principe de coproduction conditionnée, sont en relation avec les aggrégats.

Maha-saccaka Sutta (MN 36) - Le très grand discours à Saccaka - Les trois vraies connaissances - vie de Gautama {M I. 237}. Saccaka, ascète errant,vient voir le Bouddha et l'interroge sur la culture de l'esprit et du corps. Il ne connaît que des méthodes erronées pour développer la concentration. Le Bouddha lui explique les diverses pratiques de méditation et austérités qu'il avait suivies, jusqu'au moment où il avait découvert la Voie du milieu qui l'a finalement amené à réaliser l'Éveil et le Nirvana.

Maha-salayatanika Sutta (MN 149) - Le grand discours des six sens {M III. 287}. Comment une claire compréhension des six sens conduit au développement des Ailes de l'Éveil et à la libération finale.

Maha-satipatthana Sutta (Le grand sutta de l'établissement de l'attention) DN 22

Maha-sihanada Sutta (Le grand discours sur le Rugissement du Lion) MN 12. Le Bouddha décrit ce qui lui permet de pousser son rugissement de lion, c'est à dire ce qui fait qu'il est un être qui ne peut pas être défini.

Maha-saripama Sutta (MN 29) - A Rajagriha, faisant allusion à Devadatta qui se contentait du profit et de la gloire parce qu'il avait réalisé les pouvoirs supranormaux et avait quitté l'enseignement pour causer un schisme dans le Sangha, le Bouddha dit que son enseignement n'est pas pour le profit et la gloire qui sont comme les pousses et les branches d'un arbre; non pas seulement pour l'accomplissement en sîla qu'on peut assimiler à l'écorce extérieure de l'arbre; ni pour le seul établissement de la concentration pour obtenir les pouvoirs supranormaux qui sont comme l'aubier de l'arbre. Le Dharma est enseigné pour l'obtention du niveau d'arhat, qui à lui seul ressemble au coeur du tronc.

Mallika Sutta (La richesse et la beauté) AN 3.57

Metta-Sutta (Sutta Nipata I, 8)

Mulapariyaya Sutta (La séquence racine) MN 1 : il n'y a rien - pas même le nirvana - qui puisse être considéré à bon droit comme la source dont provient tout phénomène et toute expérience.

Nidana Sutta (Les trois origines des actions) AN 3.33

Potaliya Sutta (MN 54) - Pour Potaliya {M I. 359}. Au moyen de sept paraboles sur les inconvénients des passions sensuelles, le Bouddha enseigne à Potaliya ce que cela signifie, dans la discipline d'un noble, de s'être entièrement retranché des affaires mondaines.

Ratthapala Sutta (MN 82) - Sur Ratthapala {M II. 54}. (extrait) Ratthapala, fils d'un riche brahmane qui avait obtenu à grand-peine de ses parents la permission de devenir un bhiksu sous la houlette du Buddha, revient chez eux après douze ans d'efforts acharnés grâce auxquels il est devenu un arhat de plein droit. Ses parents tentent de l'inciter à revenir à la vie domestique en lui faisant miroiter la richesse et une femme, mais sans résultat. Il leur enseigne la loi de l'impermane et dans cet extrait, leur rappelle les quatre observations à propos du monde qui l'avaient jadis poussé à quitter la vie de famille et à devenir un bhiksu.

Ratha-vinita Sutta (MN 24) - Les chariots-relais {M I. 145}. En se servant de la comparaison d'un ensemble de chariots-relais, le Vén. Punna Mantaniputta explique la relation des facteurs de la voie avec le but de la vie sainte.

Sabbasava Sutta (Toutes les fermentations) MN 2. Le Bouddha enseigne sept méthodes pour éliminer les souillures profondément enracinées de l'esprit (sensualité, bienséance, conceptions et ignorance) qui empêchent la réalisation de l'Éveil.

Saleyyaka Sutta (MN 41) - Les brahmanes de Sala {M I. 285}. Le Bouddha explique à un groupe de maîtres de maison brahmanes comment nos actions présentes - de corps, de discours, et d'esprit - déterminent nos fortunes à venir.

Sallekha Sutta (MN 8) - Le discours sur l'effacement {M I. 40}. Le Bouddha explique comment les qualités maladroites du coeur peuvent être éradiquées par la méditation.

Sammaditthi Sutta (MN 9) - Le discours sur les Vues correctes {M I. 46}. Un discours long et important du Vén. Shariputra, avec des sections séparées sur le salubre et l'insalubre, la nourriture, les Quatre Nobles Vérités, les douze facteurs de la coproduction conditionnée, et les pollutions.

Sekha-patipada Sutta (MN 53) - La pratique pour quelqu'un qui est en formation {M I. 353}. "Accompli en claire-connaissance et en conduite" est un qualificatif standard pour le Bouddha. Ce sutta explique ce que cela signifie, et montre qu'il peut tout aussi bien servir pour décrire un arhat.

Tevijja Sutta (Où sont les vrais brahmanes ?) DN 13

Upanisa Sutta (co-production conditionnée transcendante)

Upasaka Sutra (Enseignement au disciple vêtu de blanc)

Vatthupama Sutta (MN 7) - La comparaison du tissu {M I. 36}. Avec une simple comparaison, le Bouddha illustre la différence entre un esprit souillé et un esprit pur.

Vitakkasanthana Sutta (MN 20) - La relaxation des pensées {M I. 118}. Le Bouddha offre cinq méthodes pratiques de réagir sagement aux pensées maladroites (pensées connectées avec le désir, l'aversion, ou l'illusion)

 

Equivalent pali inconnu :

Sutra sur la cause et l’effet dans les trois périodes du temps

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