La consécration d'une statue du
Bouddha Shakyamuni faite par Shijo Kingo

(Au sujet de la cérémonie d'ouverture des yeux d'une statue du
Bouddha Shakyamuni réalisée par Shijo Kingo)

Lettres et traités de Nichiren Daishonin. ACEP - vol. 6, p. 175; SG* p. 687.
Gosho Zenshu p. 1144 - Shijo Kingo Shaka butsukuyo ji
Showa Teihon p.1182-1183. (Copies authentifiées).

Minobu, le 15 juillet 1276 à Shijo Kingo

 

Dans votre journal (note), vous écrivez  : "J'ai fait faire une statue en bois du Bouddha Shakyamuni." A propos de la cérémonie d'ouverture des yeux [convenant à une telle statue], dans le Sutra Fugen, il est dit  : "Ce sutra du Mahayana est la resserre aux trésors de tous les bouddhas, l'œil de tous les bouddhas des dix directions dans les trois phases de la vie." Il y est dit aussi  : "Ce sutra du Mahayana est l'œil de tous les bouddhas car c'est grâce à son enseignement qu'ils acquièrent les cinq sortes de vision du Bouddha. Ceux qui pratiquent le Sutra du Lotus acquièrent naturellement ces Cinq sortes de vision, comme les habitants d'un pays obéissent à la personne assise sur le trône royal, ou comme les poissons suivent naturellement le maître de l'océan.

Les sutras Kegon*, Agama*, Hodo*, Hannya* et Vairocana* prétendent en théorie conférer les cinq sortes de vision mais ne les procurent pas en réalité. Le Sutra du Lotus les confère en théorie aussi bien que de manière concrète. Et même s'il ne les promettait pas nommément, il est absolument certain qu'il les procurerait en réalité.

A propos des Trois Corps du Bouddha, il est dit dans le Sutra Fugen  : "Les trois propriétés illuminées de la vie du Bouddha découlent des sutras du Mahayana [hodo]. Ce sceau du Dharma permet de pénétrer dans l'océan du nirvana. C'est de ce vaste océan que naissent les trois sortes de Corps purs d'un bouddha. Ces trois propriétés sont le champ fertile de la bonne fortune pour tous les êtres, humains aussi bien que célestes, et représentent ce qui est le plus digne de recevoir des offrandes."

Les trois Corps sont  : un, le Corps du Dharma* de l'Ainsi-venu ; deux, le Corps de sagesse* de l'Ainsi venu  ; et trois, le Corps manifesté de l'Ainsi-venu. Tous les bouddhas possèdent naturellement ces trois sortes de Corps de l'Ainsi-venu. Prenons la lune, par exemple : on pourrait comparer la lune elle-même au Corps du Dharma*, sa lumière, au Corps de Sagesse*, et son reflet au Corps de Manifestation*. De même qu'une seule lune comporte ces trois aspects, un seul bouddha est doté de ces Trois Corps différents.

Ces principes, les Cinq sortes de vision et les Trois Corps, ne sont exposés nulle part en dehors du Sutra du Lotus. C'est pourquoi le Grand-maître* Zhiyi* écrivit : "Le Bouddha, à travers les trois phases de la vie, est doté des Trois Corps. Mais dans les divers sutras, cela reste secret et n'est pas transmis."(réf.) Dans ce commentaire, les mots "les divers sutras" ne désignent pas seulement les sutras Kegon*, Hodo* et Hannya* mais la totalité des sutras à l'exception du Sutra du Lotus. Et le passage "cela reste secret et n'est pas transmis" signifie que dans tous les sutras, à l'exception du chapitre Juryo* (XVI) du Sutra du Lotus, le Bouddha Shakyamuni a dissimulé ce principe et ne l'a nulle part exposé. Par conséquent, la seule cérémonie de consécration d'une représentation peinte ou sculptée du Bouddha d'une quelconque utilité est celle qui se fonde sur le Sutra du Lotus et l'école Tendai (note). De plus, le principe d'ichinen sanzen s'appuie sur le principe de san seken. Ces trois domaines de l'existence sont  : un, le domaine des êtres vivants  ; deux, le domaine des cinq agrégats  ; trois, le domaine de l'environnement. Nous laisserons les deux premiers de côté pour l'instant. Le troisième, le domaine de l'environnement, est celui des plantes et des arbres. À ce domaine des plantes et des arbres appartiennent les substances à partir desquelles sont fabriquées les cinq couleurs utilisées en peinture. Avec ces pigments, les images sont peintes, et avec les arbres sont faites les statues de bois.

C'est le pouvoir du Sutra du Lotus qui insuffle une "âme" (note) à ces images peintes ou sculptées. Telle fut la réalisation du Grand-maître* Zhiyi*. Pour les êtres vivants, ce principe se résume en "l'atteinte de la bodhéité sans changer d'apparence"  ; et par rapport aux images peintes et aux sculptures en bois, c'est ce qu'on appelle "la bodhéité des plantes et des arbres". C'est pourquoi le Grand-maître* Guanding* écrivit  : "Cette méditation shikan procure une clarté et une sérénité sans pareilles, aucune autre avant elle ne lui est comparable"  ; (réf.) et voilà pourquoi il est dit par le Grand-maître* Zhanlan*  : "La révélation de l'existence de l'état de bouddha chez les êtres non-sensitifs surprend et stupéfie ceux qui en entendent pour la première fois le principe."(réf.)

Ce principe d'ichinen sanzen n'a jamais été formulé auparavant et n'a pas été non plus connu par la suite. Ou si on le trouve quelque part énoncé, on peut être certain qu'il aura été volé [à l'enseignement de Zhiyi*].

Cependant, quelque deux cents ans ou plus après l'époque de Zhiyi* Shubhakarasimha*, Vajrabodhi* et Amoghavajra* ont fondé l'école que l'on appelle Shingon en s'appuyant sur le Sutra Vairocana*. Et bien que ce principe n'apparaisse nulle part dans le Sutra Vairocana*, ils volèrent le principe d'ichinen sanzen dans le Sutra du Lotus, et les commentaires qu'en avait fait Zhiyi*, pour en faire le coeur de l'école Shingon. De plus ils prétendirent que ce principe était originaire d'Inde, et ainsi ils abusèrent les lettrés de Chine et du Japon des époques ultérieures. Ignorant la vérité en la matière, tous acceptent et croient les affirmations de l'école Shingon. Cela dure maintenant depuis plus de cinq cents ans.

Ainsi les images peintes et sculptées consacrées avant l'apparition de l'école Shingon [alors qu'était encore respectée l'orthodoxie de l'école Tendai] ont révélé des pouvoirs remarquables, mais celles qui furent enchâssées dans des temples et des pagodes construits par la suite [et consacrées selon les rites d'ouverture des yeux de l'école Shingon] ne procurent que très peu de bienfaits. Les exemples sont trop nombreux pour que je les énumère ici en détail.

Toutefois, ce bouddha qui est le vôtre est un bouddha vivant. Il ne le cède en rien à la statue du Bouddha du roi Udayana, ou à celle façonnée par le roi Bimbisara. Il est certain que Bonten, Taishaku, les divinités Nitten, Gatten et les quatre Rois du Ciel vous assisteront comme l'ombre accompagne le corps et vous protégeront toujours. C'est le premier point que je voulais établir.

Votre journal indique aussi que chaque année, pendant une période de quatre-vingt-dix jours, du 8e jour du 4e mois au 15e jour du 7e mois, vous accomplissez des actes de dévotion envers Nitten qui vit dans un palais fait des sept sortes de joyaux, d'une taille de 816 ri ou de 51 yojana. En son centre réside Nitten, servi par deux acolytes, Sho et Musho. A sa droite et à sa gauche sont disposés les sept luminaires célestes (note) et les neuf luminaires célestes (note), et devant lui, se tient la déesse Marishiten. Nitten se déplace dans un char fait des sept sortes de joyaux et tiré par huit bons chevaux ; en l'espace d'un jour et d'une nuit, il fait le tour des quatre continents, et il est l'oeil de tous les êtres vivants qui y résident.

On dit que les autres bouddhas, bodhisattvas et divinités célestes octroient d'immenses bienfaits. Cela, les simples mortels l'entendent bien de leurs oreilles, mais de leurs propres yeux, ils ne peuvent le voir. Dans le cas de Nitten, cependant, il ne peut y avoir de doute car ses bienfaits sont devant nos yeux mêmes. Sans Shakyamuni, maître des enseignements, comment pareils bienfaits pourraient-ils apparaître aussi clairement  ? Et sans le pouvoir du Sutra merveilleux du Véhicule unique, comment de telles merveilles pourraient-elles se manifester sous nos yeux? Quel prodigieux spectacle ! On s'est demandé comment exprimer sa reconnaissance à l'égard de Nitten. Les personnes conscientes qui vécurent avant l'apparition du bouddhisme s'inclinèrent toutes devant lui ou lui présentèrent des dons, et toutes reçurent des bienfaits évidents en retour. Au contraire, ceux qui s'opposèrent à lui reçurent tous des rétributions négatives.

En recherchant ce que disent les textes bouddhiques à ce sujet, nous voyons qu'il est écrit dans le Sutra Konkomyo* : "Nitten et Gatten, lorsqu'ils entendent le Sutra, acquièrent une plus grande force." Et dans le Sutra Saishoo, il est dit : "C'est grâce au pouvoir du roi des sutras que les luminaires célestes font le tour des quatre continents."

Comprenez bien que c'est la force du Dharma bouddhique qui permet à Nitten et Gatten de traverser le monde. Les sutras Konkomyo* et Saishoo ne sont que des enseignements provisoires, des moyens qui conduisent au Sutra du Lotus. Comparés au Sutra du Lotus, ils sont comme le lait par rapport au beurre clarifié [ghee] ou le métal par rapport aux pierres précieuses. Si, même avec ces sutras d'un niveau inférieur, les divinités célestes parviennent à parcourir le monde, les bienfaits qu'elles obtiendront en goûtant à la saveur, d'une douceur sans pareille, du Sutra du Lotus seront bien supérieurs encore !

C'est pourquoi, dans le chapitre Jo* (I) du Sutra du Lotus, les divinités Nitten, Gatten sont présentes aux côtés de Fuko, la divinité des étoiles. Et dans le chapitre Hosshi* (X), il est prédit que Nitten parviendra à l'illumination suprême sous le nom d' "Ainsi-Venu Kaji" [porteur de feu] (note).

De plus, bodh votre défunt père vous a précédé dans cette célébration de Nitten, et vous conduisez donc ces cérémonies depuis déjà longtemps. Comment Nitten pourrait-il vous abandonner ?

Moi aussi j'ai fait confiance à cette divinité, tout en continuant à lutter au Japon depuis plusieurs années. Et j'ai déjà le sentiment d'avoir obtenu la victoire. Des bienfaits aussi clairs ne peuvent être attribués à nulle autre divinité.

Beaucoup d'autres points me semblent admirables dans votre journal, que je ne peux tous aborder maintenant, mais il en est un qui me touche particulièrement.

Souvent déjà par le passé, vos lettres ont exprimé votre loyauté envers vos parents. Pourtant, en lisant la présente lettre, je n'ai pu retenir mes larmes. Vous vous inquiétez à l'idée que peut-être vos parents se trouvent en enfer. Comme cette préoccupation est émouvante et honorable !

Parmi les disciples du Bouddha, il y en eut un du nom de Maudgalyayana. Son père se nommait Kissen Shishi et sa mère, Shodai-nyo. Après la mort, sa mère tomba dans le monde des esprits faméliques*. Tant que Maudgalyayana resta un simple mortel, il n'en eut pas conscience et n' avait donc aucune raison d'en souffrir. Mais lorsque, une fois devenu disciple du Bouddha, il parvint au stade d'arhat et acquit la vision divine, il aperçut sa mère dans le monde des esprits faméliques*. Voyant cela, il lui fit des dons de boisson et de nourriture mais qui tous se changeaient en flammes et ne faisaient qu'alimenter ses souffrances. Il courut vers le Bouddha pour lui rapporter cela. Imaginez les sentiments de Maudgalyayana à ce moment-là !

En ce qui vous concerne, n'étant qu'un simple mortel, vous n'avez d'autre vision que celle des simples mortels ; vous ne pouvez pas voir dans quel monde se trouvent vos parents mais vous vous demandez si la souffrance n'est pas leur sort également. C'est la preuve de votre piété filiale. Bonten, Taishaku, les divinités Nitten, Gatten et les quatre Rois du Ciel vous observent sans nul doute, et vous bénéficierez de leur bienveillance.

Il est dit dans le Sutra Kegon*  : "Ceux qui ne s'acquittent pas de leur dette de reconnaissance connaîtront bien souvent une mort prématurée." Et dans le Sutra Kambutsu sokai, on lit : "C'est cela [cet oubli de ses obligations] la cause qui conduit à renaître dans l'enfer avici." Mais vous avez déjà manifesté une profonde et sincère piété filiale. Il est donc certain que les divinités célestes entendront vos prières. [Tel est le deuxième point que je voulais souligner.]

Vous mentionnez aussi dans votre lettre des choses qui, lorsqu'on y réfléchit attentivement, ne méritent pas qu'on s'y s'arrête. Les habitants du Japon me haïssent, moi Nichiren. Et ce, uniquement parce que le seigneur de Sagami [Hojo Tokimune] éprouve envers moi de la haine. Certes, le gouvernement n'avait absolument aucune raison d'agir à mon égard comme il l'a fait, mais même avant de rencontrer ces difficultés je savais qu'elles se produiraient. J'avais donc décidé, quoi qu'il m'arrive, de ne jamais conserver de rancune contre personne. Cette détermination a peut-être agi comme une sorte de prière car maintenant je suis sain et sauf, et j'ai survécu aux diverses persécutions.

Quelle aide m'a permis de ne pas mourir de faim sur l'île de Sado et de réciter, jusqu'à ce jour, le Sutra du Lotus dans ces montagnes  ? La vôtre. Et si l'on se demande qui vous a permis d'offrir une telle aide, il faut admettre que c'est votre seigneur le nyudo Ema. Même s'il n'avait pas conscience de m'aider, ce qu'il a fait équivaut incontestablement à une sorte de prière en ma faveur. Et du même coup, cette prière de votre seigneur est devenue une prière pour vous.

C'est aussi grâce à lui que vous avez pu vous acquitter de vos obligations envers vos parents. Quoi qu'il arrive, vous ne devriez jamais l'abandonner. Si c'est lui qui s'obstine à vous rejeter, il n'y aura rien à faire. Mais vous-même, ne l'abandonnez pas, même si cela doit mettre votre vie en danger.

Dans le passage de sutra que j'ai cité plus haut, il est dit que ceux qui négligent leurs dettes de reconnaissance connaissent souvent une mort prématurée. Ceux qui au contraire accomplissent leur devoir de piété filiale ne connaîtront pas cette sorte de mort.

Le cormoran est un oiseau capable d'avaler du fer, mais ses oeufs n'ont rien à craindre dans le ventre de leur mère. Certains poissons avalent du gravier sans dommage pour les oeufs qu'ils portent. L'arbre appelé santal résiste aux flammes et dans les Ciels de pureté  ; l'eau ne peut pas éteindre le feu. Le corps du Bouddha Shakyamuni ne se consuma pas, même lorsque trente-deux hommes robustes s'efforcèrent de le brûler avec leurs torches (réf.)  ; et quand le feu jaillit du corps du Bouddha, toute la pluie que les divinités-dragons du monde des trois plans firent tomber pour tenter de l'étouffer ne parvint pas à l'éteindre.

Vous avez concrètement aidé Nichiren à accomplir des actes méritoires. Il est donc presque impossible que des personnes mauvaises vous nuisent. Et si quelque chose de fâcheux vous arrivait, soyez certain que ce serait la rétribution en cette vie-ci de la haine que vous auriez conçue, dans une vie antérieure, à l'égard d'un pratiquant du Sutra du Lotus. Les rétributions de ce genre ne peuvent pas être évitées, aussi loin que l'on aille se cacher, au coeur des montagnes ou par-delà les mers. C'est la raison pour laquelle le bodhisattva Fukyo fut attaqué à coups de sabre et de bâton, et le vénérable Maudgalyayana tué par un groupe de brahmanes de l'école du Bâton de bambou. Par conséquent, à quoi servirait de s'en plaindre ?

Mais il est préférable d'éviter les troubles imprévisibles et de faire preuve d'endurance et de patience. Au cours des cent jours qui suivront la lecture de cette lettre, ne sortez pas imprudemment la nuit pour boire, avec vos collègues ou d'autres, en dehors de chez vous. Si votre seigneur vous convoque dans la journée, allez-le voir immédiatement. Si c'est à la nuit tombée, faites-lui dire à trois reprises que vous êtes malade. S'il persiste et vous appelle encore, demandez à vos serviteurs ou à quelqu'un d'autre de s'assurer que la route est sûre avant de répondre à cette convocation [de votre seigneur]. Si vous vous comportez avec une telle prudence et si, au même moment, les Mongols attaquent notre pays, les sentiments des autres à votre égard changeront et ils ne vous manifesteront plus d'hostilité.

Pour en revenir à votre lettre, même si vous aviez commis des erreurs, vous ne devriez pas envisager à la légère de quitter le service de votre seigneur, et encore moins si vous n'êtes coupable d'aucune erreur. Dans ce cas, ne prêtez aucune attention à ce que les autres pourront dire.

Quant à votre désir de devenir moine laïque, vous aurez tout le temps de l'exaucer plus tard. Et une fois devenu nyudo, si vous deviez vous retrouver dans des conditions matérielles ou spirituelles qui ne vous conviennent pas, vous subirez de nouveau des influences mauvaises qui chercheront à vous troubler. De nos jours, certaines femmes se sont faites nonnes afin de monter des complots, et certains hommes après être devenus nyudo continuent à commettre des mauvaises actions d'une réelle gravité. Ne devenez jamais comme eux.

Même si vous ne souffrez d'aucune maladie physique, faites préparer des moxa et appliquez les sur votre corps en un ou deux endroits, afin de pouvoir prétexter une maladie par la suite, si nécessaire. Pour le moment, si certains désordres venaient à se produire, envoyez quelqu'un d'autre observer ce qui se passe.

Il m'est difficile d'exprimer dans cette lettre tout ce que voudrais dire. C'est pourquoi je n'ai pas abordé ici les questions de doctrine. Quant au Sutra, j'en ferai une copie pour vous quand la chaleur sera moins grande.

Avec mon profond respect,
Nichiren

Le 15e jour du 7e mois de la 2e année de Kenji (1276), sous le signe cyclique hinoe-ne.

ARRIERE-PLAN - Nichiren Daishonin écrivit cette lettre de Minobu à l'intention de Shijô Kingo, le 15e jour du 7e mois de 1276, à l'âge de 55 ans. Manifestement, Shijô Kingo avait fait sculpter, pour ses parents décédés, une statue du Bouddha Shakyamuni, et avait demandé à Nichiren Daishonin de la consacrer par une cérémonie dite "d'ouverture des yeux ". Cette lettre est la réponse qui lui fut adressée. (Commentaire ACEP)

En anglais : Consecrating an Image of Shakyamuni Buddha Made by Shijo Kingo

- http : //www.sgilibrary.org/view.php?page=683&m=1&q=Image%20of%20Shakyamuni
- commentaires : http : //nichiren.info/gosho/bk_ConsecratingImage.htm

Retour
haut de la page